S’occuper des personnes âgées peut être difficile, surtout si un proche ne veut pas d’aide. Comprenez ce qui provoque la résistance de votre proche et comment vous pouvez encourager la coopération. L’un des défis les plus difficiles que vous pouvez rencontrer lorsque vous vous occupez de personnes âgées est la résistance aux soins. Comment aider un proche qui ne veut pas d’aide ? Comprenez pourquoi une résistance aux soins pourrait se développer et les stratégies pour encourager la coopération.
Quelles sont les causes de la résistance aux soins ?
Si votre proche a besoin de soins comme des ennuyeux routines aux soins dentaires d’un mutuelle dentaire pour personne âgée, il ou elle est probablement confronté(e) à une perte – perte physique, perte mentale, perte d’un conjoint ou perte d’indépendance. Accepter de l’aide peut signifier renoncer à sa vie privée et s’adapter à de nouvelles routines. En conséquence, votre proche peut se sentir effrayé et vulnérable, en colère parce qu’il a besoin d’aide ou coupable à l’idée de devenir un fardeau pour sa famille et ses amis.
Dans certains cas, votre proche peut être têtu, avoir des problèmes de santé mentale ou simplement penser que c’est un signe de faiblesse que d’accepter de l’aide. Il peut également s’inquiéter du coût de certains types de soins. Les pertes de mémoire peuvent également rendre difficile pour votre proche de comprendre pourquoi il a besoin d’aide.
Quelle est la meilleure façon d’aborder la question de la nécessité de soins avec un proche ?
Dans certains cas, le médecin entamera une discussion avec votre proche sur ses besoins en matière de soins. Si vous entamez la conversation et que vous pensez que votre proche sera réticent à recevoir des soins – que ce soit de la part de sa famille, d’autres contacts proches ou d’un service – tenez compte de ces conseils :
Déterminez quelle aide est nécessaire. Évaluez honnêtement le type d’aide dont votre proche a besoin et les services qui pourraient le mieux fonctionner. Choisissez un moment où vous et votre proche êtes détendus. Il vous sera ainsi plus facile, à vous et à votre proche, de vous écouter et de vous exprimer. Renseignez-vous sur les préférences de votre proche. Votre proche a-t-il une préférence quant au membre de sa famille ou au type de service qui lui fournit des soins ? Il se peut que vous ne puissiez pas répondre à tous les souhaits de votre proche, mais il est important d’en tenir compte. Si votre proche a du mal à vous comprendre, simplifiez vos explications et les décisions que vous attendez de lui. Demandez l’aide des membres de votre famille. La famille et les amis pourront peut-être vous aider à convaincre votre proche d’accepter de l’aide. N’abandonnez pas. Si votre proche ne veut pas discuter du sujet la première fois que vous en parlez, réessayez plus tard.
Quelles sont les stratégies les plus efficaces pour gérer la résistance aux soins ?
Pour encourager la coopération, vous pourriez :
Suggérer un essai. Ne demandez pas à votre proche de prendre une décision finale sur le type de soins qu’il ou elle reçoit immédiatement. Un essai donnera à un proche hésitant l’occasion de tester les avantages de l’assistance. Décrivez les soins de manière positive. Faites référence aux soins de répit comme une activité que votre proche aime. Parlez d’un prestataire de soins à domicile comme d’un ami. Vous pouvez également appeler les soins aux personnes âgées un club, ou parler de votre proche comme d’un bénévole ou d’un assistant au centre. Expliquez vos besoins. Envisagez de demander à votre proche d’accepter des soins pour vous faciliter un peu la vie. Rappelez à votre proche que vous devrez parfois faire des compromis sur certains points. Traitez la question du coût. Votre proche pourrait résister à l’idée de se faire soigner par crainte du coût. Si les soins de votre proche sont couverts par Medicaid ou par d’autres fonds, partagez cette information pour l’aider à apaiser ses inquiétudes. Choisissez vos batailles. Faites de votre mieux pour comprendre le point de vue de votre proche et concentrez-vous sur la situation dans son ensemble. Évitez de vous battre avec votre proche sur des questions mineures liées à ses soins. Gardez à l’esprit que ces stratégies peuvent ne pas être appropriées lorsque vous avez affaire à un proche atteint de démence.